La noyade du « je »
Certes, on parle d’une expérience associative, dans laquelle vous êtes plusieurs. C’est donc la porte ouverte aux « nous », aux « on ». Normal ! Sauf que c’est toujours vous qui passez l’entretien et pas « on ». C’est votre expérience de l’association qui intéresse le jury et pas l’association en soi. C’est votre rôle qui l’intéresse. Le sujet est donc bien « je ». Cela a donc deux implications :
- Utilisez le pronom « je »
- Evoquez votre rôle, parlez de votre implication, non pas de ce qu’a fait l’association, mais de ce que vous avez fait, vous.
La seule présence du « je »
Pourtant, il faut respecter le caractère associatif de l’expérience et vouloir tout ramener à soi serait une erreur. Le jury veut vous voir agir dans un collectif et peut-être même vous voir vous effacer devant l’objectif commun. Conséquences :
- Il ne faut pas gommer totalement les « nous »
- N’hésitez pas à utilisez le « je » mais « avec » les autres. Exemple : « J’ai mis en place avec mes camarades… »
La surdimension de la partie administrative